Comment t'appelles-tu ? demande la maîtresse.
- Mohammed, répond le petit. - Ici nous sommes en France, il n'y a pas de Mohammed, dorénavant tu t'appelleras Roger, rétorque la maîtresse.
Le soir, Mohammed rentre chez lui. - La journée s'est bien passée Mohammed ? lui demande sa mère.
- Je ne m'appelle plus Mohammed, mais Roger car je
suis en France.
- Ah, tu as honte de ton prénom, tu renies tes parents!
La mère pique une belle colère et lui flanque une raclée. Puis elle appelle le père et le met au courant. Mohammed s'en reprend une.
Le lendemain Mohammed retourne en classe.
- Que s'est-il passé mon petit Roger ? lui demande la maîtresse, inquiétée par les marques de doigts
- Ben madame, ça faisait pas 2h que j'étais français que je me suis fait agresser par deux arabes
3 commentaires:
tristement drôle, hélas ! mais s'il était besoin de souligner l'imbécilité de ce débat ridicule.....
Cette histoire me touche beaucoup, puisque je suis enseignante. Je ne sais qui en est l'auteur, mais cela me plairait de la mettre sur mon blog, si j'en ai l'autorisation ... Elle pourrait en faire réfléchir quelques uns. Merci et tchin-tchin pour l'année qui s'en va et celle qui s'en vient !
Bien sur, Lily... fait suivre...
le problème c'est que ces histoires ne touchent que ceux qui sont déjà convaincus...
Tiens, maîtresse conjugue moi le verbe à tous les modes et tous les temps:
Je suis un con vaincu... etc...
tchin, tchin...
PP
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