A vous, amis des contes, des légendes, des êtres et des lieux étranges; amis des jardins, des champs, des bois , des rivières ; amis des bêtes à poils, à plumes ou autrement faites ; amis de toutes choses vivantes, passées, présentes ou futures, je dédie cet almanach et ses deux petits frères: auboisdesbiches et gdscendu.

Tantôt chronique, tantôt gazette, ils vous diront le saint du jour, son histoire et le temps qu’il vous offrira ; ils vous diront que faire au jardin et les légendes des arbres et des fleurs. Ils vous conteront ce qui s’est passé à la même date en d’autres temps. Ils vous donneront recettes de cuisines et d’élixirs plus ou moins magiques, sans oublier, poèmes, chansons, mots d’auteurs, histoires drôles et dictons… quelques extraits de livres aimés aussi et parfois les humeurs et indignations de la chroniqueuse.

Bref, fouillez, farfouillez, il y a une rubrique par jour de l’année. Puisse cet almanach faire de chacun de vos jours, un Bon Jour.

Et n'oubliez pas que l'Almanach a deux extensions: rvcontes.blogspot.fr où vous trouverez contes et légendes de tous temps et de tous pays et gdscendu.blogspot.fr consacré au jardinage et tout ce qui s'y rapporte.

dimanche 20 mai 2012

Le "canard"

Il suffisait de l'enchaîner pour lui rendre toute sa valeur, à notre bon vieux Canard!
Hé oui, pourquoi dit-on d'un périodique qu'il est un "canard?
C'est que jusqu'aux environs du XII° siècle, canard ne désignait pas celui que se dandine dans les basse-cours, mais un incorrigible bavard, celui qui colportait les nouvelles vraies ou fausses. 
En 1631, Théophraste Renaudot, publiait sa "Gazette", créant ainsi la presse et c'est près d'un siècle plus tard, qu'on prit l'habitude d'appeler "canard", une fausse information. 
Un siècle encore s'écoula et c'est la magazines peu fiables qui prirent le nom du volatile.
Défaut qu'on ne peut attribuer au "Canard" qui chaque mercredi en secouant ses chaînes contribue à faire tomber les nôtres...
La Chroniqueuse

1 commentaire:

FRANKIE PAIN a dit…

merci la chroniqueuse
de ce canard
gros bisous ma chère pomme