A vous, amis des contes, des légendes, des êtres et des lieux étranges; amis des jardins, des champs, des bois , des rivières ; amis des bêtes à poils, à plumes ou autrement faites ; amis de toutes choses vivantes, passées, présentes ou futures, je dédie cet almanach et ses deux petits frères: auboisdesbiches et gdscendu.

Tantôt chronique, tantôt gazette, ils vous diront le saint du jour, son histoire et le temps qu’il vous offrira ; ils vous diront que faire au jardin et les légendes des arbres et des fleurs. Ils vous conteront ce qui s’est passé à la même date en d’autres temps. Ils vous donneront recettes de cuisines et d’élixirs plus ou moins magiques, sans oublier, poèmes, chansons, mots d’auteurs, histoires drôles et dictons… quelques extraits de livres aimés aussi et parfois les humeurs et indignations de la chroniqueuse.

Bref, fouillez, farfouillez, il y a une rubrique par jour de l’année. Puisse cet almanach faire de chacun de vos jours, un Bon Jour.

Et n'oubliez pas que l'Almanach a deux extensions: rvcontes.blogspot.fr où vous trouverez contes et légendes de tous temps et de tous pays et gdscendu.blogspot.fr consacré au jardinage et tout ce qui s'y rapporte.

lundi 25 septembre 2017

Pilule ou pas pilule? bureau/souvenirs/vrac

Nouvel Obs cette semaine…
Les jeunes femmes qui ne veulent plus de la pilule au motif que c’est chimique et qu’il y a des méthodes naturelles…..
Première réaction : Non mais ! Ca va pas ? On les connaît les méthodes naturelles et leur efficacité qui nous a menées à nous battre  pour la méthode chimique certes, mais au moins efficace. Avoir tant lutté pour la contraception d’abord, l’IVG ensuite… ces écervelées n’ont pas connu nos angoisses à nous qui avons vécu le temps d’avant…
Et puis, à la réflexion… Les mœurs et les mentalités ont tellement évolué en un demi-siècle, grâce à nos combats c’est certain, mais nous vivons un temps où une grossesse hors couple – voyez, je ne dis même plus hors mariage- n’est plus l’indignité absolue qui stigmatisait la « fille-mère », la honte et la réprobation de toute une famille, un enfant que parfois il fallait cacher, faire passer pour un petit frère ou une petite sœur.
Les jeunes femmes d’aujourd’hui s’assument, ont des professions alors au fond, pourquoi tant de précautions ? Si la prise de température a ses failles, une femme peut accepter d’élever seule un enfant si le géniteur est défaillant. Leurs mères (nous autres) une fois le choc passé de se faire appeler Mémé , nous qui avons oublié de vieillir, ne les jugeront pas , prendrons le relais les mercredi et quand des obligations professionnelles l’exigeront.
Alors oui, deux générations plus tôt c’était la honte ; désormais c’est tout au plus une contrariété et plus souvent une joie. Et puis le géniteur n’est pas toujours défaillant.
Aussi effectivement, pourquoi se médicamenter ? D’autant plus que si j’ai bien lu jusqu’au bout, il existe des applis sur smartphones qui évitent les erreurs de calcul.

Le progrès passe souvent par des chemins imprévus !

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