Cependant de nombreuses différences morphologiques ou de comportement permettent au plus demeuré des tueurs des halles de discerner au premier coup d'oeil un cochon de base d'un employé aux écritures moyen.
Le cochon marche le plus souvent à quatre pattes en grognant de borborygmes vulgaires et incompréhensibles. L'employé aux écritures ne se conduit ainsi qu'en période de rut extrême, pour marquer son attachement à la pétasse zoophile de son choix. Par ailleurs, quand l'employé aux écritures patauge dans la gadoue, c'est souvent pour le plaisir, alors que le cochon ne s'y résout que contraint et forcé par l'employé aux fourches et fumiers qui n'est autre que le sosie rural de l'employé aux écritures. Enfin, le cochon renâcle aux portes de l'abattoir alors que l'employé aux écritures ou aux fourches monte à Verdun en chantant, ce qui prouve une fois de plus la supériorité absolue de l'espèce humaine dans le règne animal.
1 commentaire:
Toujours aussi génial, j'adore.
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