Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer.
A vous, amis des contes, des légendes, des êtres et des lieux étranges; amis des jardins, des champs, des bois , des rivières ; amis des bêtes à poils, à plumes ou autrement faites ; amis de toutes choses vivantes, passées, présentes ou futures, je dédie cet almanach et ses deux petits frères: auboisdesbiches et gdscendu.
Tantôt chronique, tantôt gazette, ils vous diront le saint du jour, son histoire et le temps qu’il vous offrira ; ils vous diront que faire au jardin et les légendes des arbres et des fleurs. Ils vous conteront ce qui s’est passé à la même date en d’autres temps. Ils vous donneront recettes de cuisines et d’élixirs plus ou moins magiques, sans oublier, poèmes, chansons, mots d’auteurs, histoires drôles et dictons… quelques extraits de livres aimés aussi et parfois les humeurs et indignations de la chroniqueuse.
Bref, fouillez, farfouillez, il y a une rubrique par jour de l’année. Puisse cet almanach faire de chacun de vos jours, un Bon Jour.
Et n'oubliez pas que l'Almanach a deux extensions: rvcontes.blogspot.fr où vous trouverez contes et légendes de tous temps et de tous pays et gdscendu.blogspot.fr consacré au jardinage et tout ce qui s'y rapporte.
samedi 31 octobre 2009
Chat leurre
Vengeance...
vendredi 30 octobre 2009
De notre (desperate) envoyée spéciale à Stockholm
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jeudi 29 octobre 2009
BULLETIN METEOROLOGIQUE
mercredi 28 octobre 2009
Rimes sans raison
Chat va pas mieux!!!
mardi 27 octobre 2009
Grosse fatigue
Une religieuse prend un taxi à Hazebrouck et constate que le beau chauffeur n'arrête pas de la regarder. Elle lui demande pourquoi il la regarde si intensément. Il répond : "j'ai une question à vous poser, mais je ne voudrais pas vous offenser. Elle répond "Mon fils, tu ne peux pas m'offenser. Quand tu auras mon âge et aura été une religieuse aussi longtemps que je l'ai été, tu auras vu et entendu à peu près tout. Je suis certaine que rien de ce que tu pourrais me dire ou me demander ne serait une offense." "Et bien, j'ai toujours eu le fantasme qu'une religieuse me donne un baiser." Elle répond : "Et bien, nous allons voir ce que nous pouvons faire. Premièrement vous devez être célibataire et deuxiA 8mement vous devez être catholique." Le chauffeur du taxi est très excité et dit : "Oui, je suis célibataire et je suis catholique !" "O.K.." dit la religieuse. "Tournez dans la prochaine contre-allée." La religieuse comble son fantasme avec un baiser à faire rougir une prostituée. Alors qu 'ils reprennent leur route, le chauffeur commence à pleurer. "Mon cher enfant", dit la religieuse, pourquoi pleures-tu ? "Pardonnez moi. Je dois confesser que j'ai menti ; je suis marié et je suis juif." La religieuse dit: "ne vous en faites pas. Je m' appelle Christophe et je vais au carnaval de Dunkerque." |
LE VAUTOUR DE LA SIERRA - La parole d'honneur du bandit 7
lundi 26 octobre 2009
LE VAUTOUR DE LA SIERRA - La parole d'honneur du bandit (6)
dimanche 25 octobre 2009
Halte aux virus....
LE VAUTOUR DE LA SIERRA - La parole d'honneur du bandit (5)
samedi 24 octobre 2009
LE VAUTOUR DE LA SIERRA - La parole d'honneur du bandit (4)
vendredi 23 octobre 2009
LE VAUTOUR DE LA SIERRA - La parole d'honneur du bandit (3)
jeudi 22 octobre 2009
LE VAUTOUR DE LA SIERRA - La parole d'honneur du bandit (2)
Il avait débarqué à Malaga, avec l'intention de visiter la Sierra qu'il ne connaissait pas.
Sir Gevil avait passé toute sa vie dans les colonies anglaises où il avait gouverné un petit royaume de mpontagnards farouches et traîtres.Sa poigne et son autorité avaient dompté cette population dangereuse et l'ordre avait régné pendant tout le temps de son administration.
L'avenir s'ouvrait, superbe, devant lui. Par malheur, sa santé était fort mauvaise; elle le contraignit à tout quitter et l'Angleterre dut retraiter avec une petite pension ce distingué serviteur sur qui l'on avait fondé les plus belles espérances.
Sir gevil avait conçu le plus profond chagrin de cette décision qui le classait au rang des inutilités. Il l'avait accueillie, cependant, avec un visage impassible, car personne n'était plus maître de soi. Mais sa pension liquidée, il disparut et ne donna plus signe de vie à ceux qui l'avaient connu.
Sans amis, sans foyer, sans famille, il errait de ville en ville, de pays en pays, cherchant en vain l'apaisement de ses regrets et l'oubli de sa vie manquée.
A Malaga, il s'était rendu au consulat d'Angleterre, pour toucher les arrérages de sa pension et le hasard voulut que le consul fût un de ses anciens subordonnés.
Il lui demanda quelques renseignements pour le voyage qu'il projetait dans la montagne voisine; mais celui-ci le détourna vivement de son projet. Le gouvernement espagnol venait d'échouer dans une tentative contre le Quebranta; les gardes civils étaient revenus fort maltraités; se risquer dans la Sierra, c'était courir un danger sûr.
Sir Gevil écouta l'avis, remercia et partit pour la montagne.
Il y parvint vers quatre heures du soir et il passait au pas de son cheval devant une petite auberge isolée au bord de lal route, quand un homme sortit et lui cria:
-Vous êtes le bienvenu, senor. C'est ici que l'on descend.
C'était l'hôtelier qui tira son bonnet et vint au devant de sir Gevil.
L'Anglais arrêta sa bête.
- Pourquoi descend-on? demanda-t-il.
- Il n'y a pas de maisons plus loin, senor, et vous entreriez dans le domaine de don Quebranta. Il ne s'en prend pas aux gens de peu et c'est pour votre bien, senor, que vous éviterez sa rencontre. Il ne faut pas le braver. Le Quebranta n'est pas commode.
-Me tuerait-il? demanda sir Gevil, ironiquement.
- Il vous capturerait et vous payeriez rançon. Je ne veux pas être son pourvoyeur, senor! Il me fait assez de tort en chassant du pays les voyageurs. Il éloigne mes clients, j'écarte les siens. Chacun pour soi.
- Je n'ai pas peur de votre bandit, bonhomme! dit sir Gevil.
Et piquant sa bête, il repartit.
L'hôtelier resta bouche bée.
C'est un fou! dit-il enfin. Que le diable l'emporte et que le Quebranta lui prenne sa peau!
(A suivre)
LE SCORPION
mercredi 21 octobre 2009
Gorge profonde...
mardi 20 octobre 2009
CHA-CHA-CHA...
lundi 19 octobre 2009
Nue et couverte à la fois
Comme une main à demi dégantée
Livre sa paume blanche
Et garde ses doigts de cuir.
Nue et ouverte sur ma bouche
Comme au souffle d'une falaise
Nue et vertigineuse comme la chute
Qui n'en finit pas d'attendre
Nue et belle dans cette absence de décor
Telle une cantatrice au centre d'un terrain vague.
Nue et rebelle quand les fesses sur le granit
Tu te sens prise et liée à la pierre
Le soleil fracassé du plaisir sur la peau.
Nue et seule: demain tourne sept rêves
Sous mon front où tu parais toujours.